Ce n'est un secret pour personne que l'école burkinabè à l'instar de la plupart des systèmes éducatifs de l'Afrique francophone est à la croisée des chemins. D'ailleurs les médias évoquent quotidiennement les problèmes de violence, l'incivisme des élèves, le déficit d'infrastructures, les effectifs pléthoriques, la baisse générale du niveau tant des apprenants que des enseignants.
Toutefois, à côté de ce tableau sombre, il y a une autre réalité qui intéresse peu les journaux mais qui est lumineuse, porteuse d'espoir et de solution. Il y a en effet, des hommes et des femmes de bonne volonté qui travaillent dans l'ombre, posent des actes héroïques, innovent, se battent sans relâche pour que l'école offre ce qu'elle a de meilleur. Il est important de montrer ces combattants de l'ignorance.
Il y a aussi des réflexions qui se mènent au niveau local ou régional pour rendre l'école meilleure, l'éducation plus heureuse et faire de l'apprentissage, un gai savoir. Cet blog voudrait être une tribune pour ces penseurs qui veulent réformer l'école avec des idées nouvelles qui tiennent compte de nos réalités. Il s'agit de faire connaitre ces laboratoires d'idées où des penseurs se déprennent des reformes "prêt-à-porter" que le FMI et la Banque mondiale et pensent notre école de demain.
Ce blog se veut enfin un espace pour interroger les problématiques nouvelles qui traversent le champ de l'école et une agora de critiques constructives et de propositions pertinentes.
Dans le combat pour l'émergence du Burkina, la mère des batailles se mène et se gagne sur le champ de l'école. A bon entendeur, salut!
Dans le combat pour l'émergence du Burkina, la mère des batailles se mène et se gagne sur le champ de l'école. A bon entendeur, salut!